OEuvres tome 4 : N'Ecoutez pas mesdames -- Le Mot de Cambronne -- Le Mari, la femme et l'amant (coll° Les immortels chefs-d'oeuvre) et d'autres livres, articles d'art et de collection similaires disponibles sur AbeBooks.fr.Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 4,0 225 notes dont 23 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Interdit aux moins de 12 ans Laissons la parole au realisateur le plus intello-esthetisant du 7e art. "Le modele de l'histoire est la tragedie classique de la vengeance, avec un accent mis sur les fonctions du corps humain manger, boire, defequer, copuler, roter, vomir, se devetir, saigner... Le titre du film suggere son intrigue une liste de quatre personnages formant l'eternel triangle amoureux avec le cuisinier dans le role de l'outsider. Le film s'articule autour du voleur, incarnation parfaite du mechant. Il ne possede aucune qualite." Regarder ce film Cook, The Thief, His Wife and Her Lover [Edizione Regno Unito] [Import] Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Dernières news Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Spectateurs Peter Greenaway dans la lignée de réalisateurs comme Lynch, Kubrick, Cronenberg ou Ferrara ce réalisateur possède un univers bien particulier. Son film foisonnant peut être vu comme une critique amère de la société de consommation qui mène à la soumission au pouvoir. Dans ce restaurant temple de la cuisine à l’ancienne, tenu par un Bohringer qui fait un peu tâche dans le décor par un jeu trop hiératique qui sied mal à sa ... Lire plus Véritable splendeur visuelle, Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant est à mi-chemin entre la provocation excessive de la Grande Bouffe et la délicatesse stylistique de Barry Lyndon bien que les trois films n'aient - en définitive - pas grand-chose en commun . L'oeuvre de Peter Greenaway joue constamment sur les contrastes - dignité et dépravation, finesse et vulgarité, douceur et violence, sensualité et brutalité - pour mieux ... Lire plus On ne ressort pas intact de la vision de ce film coup de poing. A la violence, voire au sadisme et à l'abjection de certaines situations répond l'érotisme parfaitement abouti des scènes avec Helen Mirren absolument parfaite dans ce rôle. Et tout est transcendé par une réalisation hors du commun, l'utilisation de grands travellings et le travail sur les couleurs sans oublier l'excellentissime musique de Michael Nyman. Le rôle très ... Lire plus Il y a le voleur », grossier, violent, n’acceptant pas qu’on le contredise et selon lui gourmet, il est propriétaire d’un grand restaurant fréquenté par une clientèle huppée et dont le chef est Richard, le cuisinier, discret, bafouillant un mélange d’anglais et de Français et obéissant à contre cœur mais sans broncher au voleur ». Il s’entend bien avec la femme de ce dernier qui a un palet fin, des gouts raffinés ... Lire plus 23 Critiques Spectateurs Photo Infos techniques Nationalités Pays-Bas, Grande-Bretagne, France Distributeur - Année de production 1989 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray 04/07/2016 Date de sortie VOD - Type de film Long-métrage Secrets de tournage - Budget - Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 69715 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires LeMari, La Femme, L'amant se produira à Paris du 14 janv. au 8 mai 2022, réservez vos places avec le plan de salle interactif, avis et video sur panier : 0.00 €
Résuméde Le mari, la femme, le cochon et l'amant Dans la région de Touffay, un sanglier terrorise la population. Jean-Paul Tibure, éleveur de cochons et
InfosDiffusionsCastingRésuméDans la région de Touffay, un sanglier terrorise la population. Jean-Paul Tibure, éleveur de cochons et président de la société de chasse, organise une battue. Les choses ne vont pas se passer comme il les avait imaginéesGenreCourt métrageAnnée de sortie—AvecSamuel Mathieu, Muriel Bénazéraf, Nathalie Hauwelle, Jean-Yves Michaud, Alain Dumas, Jacques MitschInfos supplémentaires—Avis des internautes 1Vous avez aimé ce programme ?Unefemme délaissée par son mari travaillant tard et rentrant fatigué tous les soirs, se laisse tenter par le choix d'un amant. Cet amant vit de l'autre côté de la rivière et chaque jour, dans le courant de l'après midi, elle se rend chez lui en passant sur un pont. Elle traverse le pont dans l'autre sens, le soir, avant que son mari ne rentre. Culture "Le Prix Martin" de Labiche sous le regard d'un metteur en scène allemand, Peter Stein une heureuse rencontre. Laurent Stocker et Jacques Weber sur la scène de l'Odéon dans "Le Prix Martin". © Pascal Victor. Évacuons d'emblée les choses chagrines. D'abord, quelle étrange idée de programmer un entracte aux deux tiers du Prix Martin de Labiche, une pièce en trois actes, donc d'une longueur qui ne justifie en rien une interruption ? Le théâtre de l'Odéon doit être exagérément fier de son foyer et de son service de boissons... Certes, les cariatides à la blancheur d'albâtre, qui ont été dégagées lors de la restauration des halls, sont magnifiques. Mais, pour les voir, il faut lever la tête dans le foyer, puisqu'elles sont tout à fait en hauteur. Surtout, un spectacle assez court, qui fonctionne sur le rythme de la comédie, se met à durer deux heures et demie, entracte compris ! Beaucoup trop. Ensuite, le théâtre de l'Odéon n'a pas à être fier de son service de documentation. La pièce a été co-écrite par Labiche et Émile Augier. Ce brave Augier - auteur du Gendre de M. Poirier et académicien adulé en son temps - n'est pas oublié, mais c'est indiqué de façon si discrète - presque de manière invisible - dans le programme qu'on en est triste pour lui ; c'était le moment de rappeler le rôle du second couteau dans la rédaction en duo d'un vaudeville - genre qu'on écrivait alors joyeusement, à plusieurs, comme le font aujourd'hui les scénaristes de films comiques. Un vaudeville à rebrousse-poil Cela étant, on passe une très bonne soirée à l'Odéon. D'abord parce que la pièce est très savoureuse, avec sa façon de changer l'image gaillarde de l'adultère. M. Martin ne peut pas se passer de son meilleur ami, Agénor, qui vient jouer régulièrement au bésigue. Cet ami est aussi l'amant de sa femme. Mais, puisque M. Martin ne le sait pas, tout est bien. Hélas, il finit par l'apprendre et il échafaude tout un plan pour punir l'infâme, s'inspirant d'un fait divers au cours duquel un Britannique en voyage dans les Alpes avait poussé son rival dans une cascade aux eaux écumantes ! Il emmène sa femme, son ami et quelques autres personnes en Suisse pour perpétrer le même crime. C'est du moins ce qu'il confie à un proche, mais notre bourgeois a peur de tout et ne nourrit pas une haine ineffaçable pour l'ami qui le cocufie. Quant à Agénor, il est fatigué de sa vie secrète avec la jeune femme et préfère les parties de cartes avec M. Martin. Après bien des péripéties, les deux hommes reprendront leurs habitudes à Paris - ces délices du bésigue, sans femmes ! - et Mme Martin trouvera un autre amant, plus passionné. Labiche et Augier ont donc inventé une intrigue qui prend le vaudeville à rebrousse-poil les hommes se sentent mieux ensemble que dans des aventures torrides avec les femmes de leurs amis ! On peut y voir de l'homosexualité et les commentateurs de la pièce, dans diverses analyses et dans le programme remis aux spectateurs de l'Odéon, ne s'en privent pas. Mais ce parfum gay est bien mince ! Les auteurs confrontent plutôt le goût du confort et des habitudes à la fatigue et aux tracas des adultères commis dans l'angoisse et la précipitation ! Les héros du Prix Martin préfèrent leur petite vie à la vie folle. C'est dans cet esprit que le grand metteur en scène allemand Peter Stein a monté cette pièce typiquement française. Il n'a pas dérapé sur le verglas de cette promenade dans les Alpes. Sans doute parce qu'il a conçu son spectacle comme un hommage à Paris et à une certaine tradition de l'illustration française. L'excellent duo de Jacques Weber et Laurent Stocker L'espace est vaste et épuré, mais photos et gravures cadrent les lieux où galope la pièce. D'abord Paris et sa tour Eiffel. Puis les images des Alpes telles qu'on les voit dans les eaux-fortes du XIXe siècle. Tout est d'époque, tout fait époque. Les personnages ne sont pas transposés dans un autre temps, mais sont bien de la IIIe République. À commencer par Martin joué par Jacques Weber, le ventre gonflé jusqu'à l'obésité, les cheveux en bataille, l'accoutrement solennel Weber joue comique, mais au cordeau. Quelle précision dans l'énormité ! L'amant Agénor, c'est Laurent Stocker qu'on connaît à la Comédie-Française comme un jeune lutin blond ayant la vivacité d'un Figaro - rôle dans lequel il excella. Ici, il est vieilli, ridé, comme réduit, et il est extraordinaire dans l'expression de la mesquinerie et de la pusillanimité. La mise en scène s'amuse sans cesse à opposer ces deux silhouettes le colosse vaniteux et l'enfant vieilli. Leur contraste est touchant et drôle, dans le cadre bourgeois comme dans les errances des personnages dans la nature. Parallèlement aux deux ténors, Jean-Damien Barbin, en domestique hagard et pourtant attentif à tout, Christine Citti, en épouse infidèle, Pedro Casablanc, en Sud-Américain d'opérette, Manon Combes, en serveuse helvétique, assurent les deuxièmes rôles avec efficacité, puisqu'ils savent se détacher du groupe pour composer une partition personnelle, puis réintégrer la démarche collective. Sans doute le spectacle pourrait-il aller un peu plus vite, du moins avoir quelques coups d'accélérateur. Mais Peter Stein semble prendre le temps d'admirer une drôlerie qui n'est pas exactement dans sa culture. Il est si fou de cette blague qui dit tant de choses sans prendre la pose qu'il la ralentit pour avoir le temps de la contempler, de la déguster. On sent le metteur en scène se confier à lui-même tous les quarts d'heure "Mais comme c'est drôle !" Ce qui est un peu gênant pour le rythme qui s'épaissit. Mais c'est un péché mineur. Car le spectateur, aussi, se dit tout le temps "Mais comme c'est drôle !" Le Prix Martin d'Eugène Labiche et Émile Augier, mise en scène de Peter Stein. Odéon-Théâtre de l'Europe, place de l'Odéon, tél. 01 44 85 40 40, jusqu'au 8 mai. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimité Vous lisez actuellement Le mari, la femme, l'amant et les jeux de cartes Soyez le premier à réagir Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point. LFvp.